stupidchick : une pensée en passant...2012 3 mois avant la fin, c'est délibéré? :) Art-Orange-2012 : Coucou toi ;) non c'est juste pour avoir un blog qui, techniquement, fonctionne correctement. Le reste on s'en fout :) brigetjones30 : Bises...Toi! Art-Orange-2012 : Bises ;) prisci : attends de tes nouvelles.... stupidchick : Salut! Comment je fais pour proposer un article? Art-Orange-2012 : Hey ! Franchement, je ne sais pas, mais je regarde demain ;) Ceci dit, mon blog fonctionne un peu comme moi, c'est à dire bizarrement ! A voir donc demain ;) Biz Art-Orange-2012 : Je crois que c'est bon, tu es passée Rédactrice !
stupidchick : Merci! :) maw : Bises en passant! 🧡 Art-Orange-2012 : :-)
Un jour très prochain, j'aurai sans doute 10 000 followers qui trouveront toujours aussi géniale ma façon de cartographier la guerre en Ukraine, à travers ce trait précis dans cette certaine forme d’abstraction d'une souffrance devenant au fur et à mesure un spectacle des représentations.
Mais demain sera le jour de ma réalité, celle qui reste discrète, dans cet entretien pour un CDD de 4 mois au SMIC renouvelable loin du faste des réseaux et de ses illusions.
Un livre plus tard, coécrit avec un général de l'armée française sur la guerre en Ukraine, ne changera rien à ce plus pur plaisir personnel d'écrire, de temps en temps, un simple message à Marie qui a toujours la délicatesse de répondre.
Depuis que je fais des cartographies quotidiennes sur la guerre en Ukraine, je n'ai plus pris le temps de passer par ici. À cette occasion, j'en profite pour faire un lot de bises rétroactives au doux prénom de Marie :-)
Le Lebensraum "personnel" et politique vers l'ouest de Poutine n'a même pas le courage de ses propres mots, c'est dire la médiocrité profonde du personnage qui convoque le nazisme comme argument guerrier pour envahir l'Ukraine en crachant sur ses morts qui l'ont vraiment combattus sous la dictature de Staline contre les Einsatzgruppen à partir du 22 juin 1941.
Dans ce contexte et à cet effet, je recommande notamment au pouvoir Bélarusse, dont le soutien idéologique cadenassé reste complice, le film d'Elem Klimov (russe), Иди и смотри, Idi i smotri (littéralement « Viens et vois ») sur les bienfaits supposés d'une idéologie dans leur propre histoire.
Il serait bon, alors et à l'avenir, dans ce monde d'après qui s'envisage meilleur, de passer de l'autodafé à ce que les livres d'Histoire nous enseignent de plus précieux quand certains auront enfin le courage et l'habitude de les ouvrir à défaut de toujours vouloir les oublier ou bien les brûler physiquement ou intellectuellement.
Une pensée profonde pour tous les êtres humains quels qu'ils soient, d'Ukraine ou bien d'ailleurs.
Le problème des évangiles reste une histoire de points de vue.
La propagande néolibérale, techno-capitaliste ou théologique d'aujourd'hui n'est autre que la vision perpétuelle de certains qui se croient, encore, au dessus des lois en se prenant pour un être supérieur. Bien heureusement les choses changent et tous ces discours deviendront bientôt obsolètes sur la véritable longueur d'un temps intelligent, c'est à dire le notre.
Au delà du désir de tous mes mots écrits en secret pour cette jeune femme à la Clarté si troublante, demeure ton prénom bien plus profond encore à qui j'ai dit je t'aime, une seule fois, dans le trouble des circonstances de mes séries noires.
Visiblement, écrire un post un vendredi soir sur un réseau professionnel, explicitant l'importance d'en finir définitivement avec les féminicides, n'émeut que mon cousin Gilles et moi-même à cette heure. Après, j'ai sans doute choisi le mauvais moment puisqu'un week-end se préfère bien souvent à une prise de position, si celle-ci arrive à se formuler un jour quel que soit son sexe ou son intelligence.
Le charme d'une monstruosité reste une valeur dont il faut comprendre le dessous d'une écorce sous la caméra implacable d'un œil qui a toujours à dire dans le cinéma de Luis Buñuel, d'un ange exterminateur commun dans ses distances sociales jusqu'au journal d'une femme de chambre dont la lecture ressemble à une ambiguïté.
En tout cas, du très bon cinéma qui fait réfléchir au delà du noir et blanc de ses lumières.
