Là où Twitter semble le dévidoir "providentiel" pour déverser sa propre merde intérieure vers tous et Facebook sa version familiale sous les autres formes publicitaires de sa non existence dans l'imagination du concept d'un soi intéressant, il existe cependant Linkedin.

Ce dernier cas ressemble à la pire formule qui mêle une autre couche de notre satiété au néant existentiel, celle de la cohésion dans l'univers unilatéral de l'entreprise, nouvelle famille de notre perdition, celle du travail annonciateur de sa propre valeur ajoutée mise en exergue comme une pornographie affichée, toujours pour se complaire dans les dogmes à défaut de se plaire réellement.

Reste cependant une règle tangible comme une évidence à travers ces différentes postures du rien qui tentent de meubler le temps du vide de nos existences.

Nous avons peur d'être(s) humain(s).